Mily et son esprit

GRIS


Je regarde vers le haut,
les nuages envahissent ce bleu...
ils sont gris...

J'aime le gris :
cette couleur qui pleure,
cette couleur intermédiaire ,
entre le noir et le blanc,
cette couleur neutre .

Ce ciel m'appartient mais il est loin ,
comme une porte jamais atteinte
et pourtant j'aime cette sensation ,
je m'évade dans le ciel ,
mais je ne franchis jamais cette porte.

La porte du soleil,
la porte de la réalité,
celle où l'imaginaire est brisé.

un moment de vide,
un moment de pureté,
un instant de vie résonne.

Mon esprit vagabonde
de nuage en nuage,
de forme en forme
et j'observe au loin le point "soleil "

le point de non retour
cette porte vers un endroit qui n'existe pas..
la magie s'évanouit
et mes yeux ne reflète plus que le gris du ciel.

je vous mets quelque uns de mes écrits de cette année :

"Une femme seule
dans la rue
A la recherche du temps perdu"

le miroir de son âme
se reflète dans son ombre
trasnpercée comme une lame
dans l'abîme profonde

"une femme seule
dans la rue
perdu dans l'inconnu"

Son regard vide
regarde le ciel
translucide
comme l'éternel

"une femme seule
dans la rue
son coeur a nu"

la solitude l'empare
telles des ailes noires
vagabonde et fragile
elle se laisse emporter par le vide

"Une femme seule
Dans la rue
suspendu dans son vécu"

Son visage emplit de larmes
elle n'a qu'une envie c'est de crier
emporter, sans defenses et sans armes
le gouffre est là sous ses pieds

"Une femme seule
dans la rue
ne pleure, plus,
étendu dans l'infini
c'est la fin de sa vie".

Le papillon de nuit :


C'est être si frêle
qui vole dans la nuit
brise ses ailes
pour s'ouvrir à l'infini

le temps passe
et il est là
c'est être magique
qu'on ne voit qu'une fois

Dans l'ombre de la lune
le silence se fait
car le papillion de lune
ne fait que passer

Il est là
et tout le monde le sait
Mais ils ne le voit pas
Trop égocentré

transparent
fragile
silencieux

En instant
apres une brise
il se brise
et ses ailes tombent
dans le firmament

je me sens si las
Sur cette terre mystique
un regard, un souffle
m'emporte dans le gouffre
de l'infini..
oui je suis comme un
papillon de nuit.


Fantôme
L'espoir, le désespoir.

un souffle...
un frisson...

" Il n'y a personne "
le silence résonne

une impression...
une opression...

Une seule personne,
dans le noir tremble

un courant d'air...
une sensation...

"Je suis là
regardez moi,
ne me laissez pas... "

Et ils s'en vont
Je tourne en rond
Dans ma prison

Transparente
seule dans la tombe
je retombe

tel un fantôme
une chaîne au pied,
je porte mon suaire

et je danse comme une ombre
parmis le monde
et je danse comme une ombre
parmis le monde

Une larme coule sur ma joue...
dans le noir , le désespoir,
"Il va pleuvoir ce soir...."

Voilà et ça ce sont mes deux dédicaces à mes deux hommes que j'aime

A toi qui est toujours là dans ma vie:


Sous un parapluie blanc,
un jeune homme en blanc,
marche lentement.

le parapluie virevolte au gré du vent,
Il fait froid
mais il est là
le jeune homme au paralpluie blanc.

les larmes du ciel,
les larmes éternelles,
d'une vie si frêle
semblent irréelles.

la chaleur m'envahit
c'est ce parapluie
il me protège de ses intempéries
me ramenant doucement à la vie.

Le temps est gris
et puis tant pis
puisqu'on est en vie.

Son coeur bat
j'ouvre les yeux et il est là
et les larmes sèchent sur mon visage
tel un mirage.

Sous ton paralpluie blanc,
Tu t'éloigne, poussé par le vent,
Le ciel est gris,
mais tu souris.

Alors...Merci.

Pour toi qui entre dans ma vie et qui m'est précieux :

Voilà mon tourment
je n'arrive pas à exprimer mes sentiments

Je t'écris ces quelques mots
pour te dire ce que mon coeur à envie de te dire
l'obstacle de mes paroles est mon cerveau
j'aimerais bien le bannir

Je m'attache a toi
et j'aime ça
se sentiment de tendresse
se sentiment de maladresse
tu es toi et c'est pour ça que tu es si spécial à mes yeux
et j'aimerais te rendre heureux

Oui , tu as des défauts mais je n'aime pas les gens parfaits
Oui, j'ai peur je ne sais pas où ca va nous mener ,
mais j'ai envie de le vivre avec toi
Marcher main dans la main , se soutenir et s'entraider
je veux donner sans compter

Apprendre mutuellement,
on se construit à deux , en s'entraidant

L'amour, je ne sais pas comment ça marche
il n'ya ni guide ni loi et ca ne se contrôle pas
je me sens angoissée
j'ai peur de te blesser
Et à la fois c'est que du bonheur
tu me fais oublier mes malheurs
parce que tu es là à côté de moi
dans mes pensées, et dans mon coeur

De t'exprimer tout ça
j'en ai les larmes aux yeux
Ca me trouble et tant mieux
mes sentiments sont réel et sincère ...
Je suis là avec toi alors n'hésite surtout pas
Je serais ton épaule et ton oreille, je serais ton coeur et tes pensées.

Alors voilà je me déclare
auprès de toi
Je me sens reine et je fais de toi mon roi.

Ahlala, ma mimily, j'espère que tu continueras dans ta voie des écrits. PEtit à petit on sent que ça devient plus mûr, plus réfléchi, et je pense qu'avec de la pratique tu pourras en étonner plus d'un !

Merci pour la dédicasse, plus que les mots, les gestes sauront te le dire.

Voilà mon petit dernier du moment :


YIN ET YANG

Mon ombre grandit
Dans ce noir épanoui,
Mon coeur s'apaise
Sous ce regard de braise.

Une fois Yin , une fois yang..

Je suis une ligne éphémère
Lumineuse et dangereuse ,
Un équilibre amère
Dans cette vie ennuyeuse.

Une fois lune une fois soleil...

L'un m'aveugle ,
L'autre me montre le chemin ,
D'un air si serein
Il me prend par la main.

Une fois le froid une fois la chaleur..

Je me perd dans ses bras
A des kilomètres de là ,
Ce gouffre m'envahit
Dans la profondeur de la nuit.

Je suis le Yin ,
cette robe noire me rend belle .

Je suis le Yang,
Une beauté éternelle me rend si frêle.

Je suis toi , moi le contraire de toi,
Rose noire au milles perles blanches,

Tu es moi, toi le contraitre de moi,
Rose blanche au milles perles noires,

Noir,
Velouté qui me prend par les hanches,
Je suis la reine des profondeurs,
et la blancheur de ton coeur...

Je suis le yin je suis le yang.

aaah j'aime beaucoup
j'sais pas pourquoi mais là tout de suite, à 1h04 du matin, ça m'parle

Contente que ca te parle

" Le slalom est le propre de l'homme
Je me plais dans tous mes états "

Parce que san Yin, y'a pas de Yang